Que doit-on savoir avant de se lancer en intérim ?
Après la crise sanitaire, le travail en intérim a gagné une grande place sur le marché du travail. Quand on entend le mot intérim, la première chose qui nous vienne en tête est la flexibilité.
Voici quelques conseils sur l’intérim
Avant de se lancer dans le monde du travail en intérim, il y a certains points que les travailleurs doivent savoir. Accrochez-vous jusqu’à la fin pour plus de renseignements. Après que vous ayez fait une inscription dans une agence, l’agent va se charger de votre dossier et va prendre en compte votre disponibilité et votre capacité. Le contrat de travail intérimaire dure au maximum 18 mois.
L’intérimaire bénéficie des mêmes droits que les salariés de l’entreprise utilisatrice, sur les conditions d’exécution (jours fériés, congés, repos, la santé et la sécurité sociale…), sur les équipements collectifs tels que le transport, le ticket-restaurant, etc. Le salaire doit être de même que celui du titulaire. À la fin de la mission, l’intérimaire perçoit une prime de compensation de 10 % de sa rémunération brut.
Il est possible que le contrat temporaire soit une opportunité vers un métier plus stable. Comme l’a dit Marie-Hélène Bensadoun : « L’intérim est un moyen pour certaines entreprises de trouver le collaborateur idéal à qui proposer un CDI ». Le travail temporaire connaît des avantages, mais représente aussi des inconvénients. Il y a une limite dans ce travail. Il ne garantit pas un contrat à durée indéterminée (CDI). Autrement, les travailleurs doivent toujours s’adapter aux besoins des employeurs utilisatrices. L’intérim est juste un emploi temporaire non-durable.
Divers principes et obligations que l’entreprise utilisatrice doit savoir
Une entreprise utilisatrice travaille avec une agence d’intérim afin de faciliter le recrutement d’un intérimaire. Les deux partis concluent un contrat de mise à disposition (incluant la durée de la mission, le motif, la description du poste…). Le salarié recruté signe par la suite un contrat de travail avec la société d’intérim. L’entreprise doit offrir au salarié intérimaire pareillement aux salariés permanents, une formation en matière de sécurité. La durée maximale d’une mission intérimaire ne peut excéder 18 mois (renouvellent possible). L’entreprise ne peut pas d’utiliser un travailleur intérimaire pour un emploi permanent. De plus, elle n’a pas le droit de remplacer un salarié gréviste par un travailleur intérimaire. Il est possible que la durée de la mission intérimaire ne soit pas précise. De ce fait, la mission prend fin quand le salarié qui était absent soit de retour (le congé de maternité est fini par exemple.). Néanmoins, si le but du contrat temporaire est d’affronter un accroissement temporaire d’activité, le terme du contrat doit être précis.
Le contrat de travail peut être renouvelé pourvu que sa durée générale n’excède pas la durée définît par la loi. Une clause de renouvellement doit être incluse. Faire appel à un travailleur intérimaire est possible quand il s’agit de réaliser des tâches ou des commandes urgentes face à une augmentation d’activité temporaire, ou de remplacer un chef d’entreprise ou un salarié indisponible (congé maladie, congé de maternité…).